7 Septembre 2012
En parcourant le dernier livre de Dominique O’Brien, You can have an amazing Memory (Traduction française : Une mémoire extraordinaire), j’ai compris les liens qu’entretiennent Photolecture et mémoire. Ainsi, la rétention de l’information repose sur une saisie globale. Plus on a une vision d’ensemble, mieux on retient. Cela favorise les associations.
Dominique O’Brien rappelle que ces associations doivent avoir 3 qualités :
Les meilleures associations sont les premières qui nous viennent à l’esprit : les reconnaître demande un certain lâcher prise. Il ne faut pas se laisser perturber par les intrusions du mental ni chercher à les contrôler. Ces associations doivent être :
Rien ne vaut le « je » pour ajouter ce comburant essentiel qu’est l’émotion.
Comment la Photolecture favorise-t-elle la mémorisation ?
Etape 1, la préparation
Vous vous fixez un objectif . C’est personnel. Vous vous mettez donc au centre du processus
et n'obéissez donc pas à quelque dictat énoncé par un ami ou un professeur. Lire un livre, c’est avoir un entretien avec son auteur. Plus cet entretien sera focalisé sur vos centres d’intérêt, mieux vous y participerez, avec toute l’émotion nécessaire, plus il vous intéressera et mieux vous en retiendrez les détails.
Etape 3, la photolecture
La Photolecture vous met en contact avec la totalité de l’information. C’est un processus non-conscient qui favorise la multiplicité des associations et qui évacue le mental donc le bruit. Notre cerveau est extraordinairement rapide, ce qui réduit sa vitesse de fonctionnement, ce sont les pensées parasites, les résistances… Or, la photolecture étant une prise d’information à un niveau non-conscient, rien n’entrave la vitesse du cerveau.
En bref, la Photolecture crée des associations les plus diverses et les plus puissantes
Les trois outils qui permettent de faire passer l’information du non-conscient au conscient sont :